Cagliari Bizerte
Thierry et Pierre nous ont quittés à l’aéroport de Cagliari
mais nous les retrouverons en Sicile, alors que Marie-Thérèse embarquait pour
de nouvelles aventures. Nous décidons très vite après la messe dominicale de
prendre la mer, cap sur Bizerte,
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| Mer un peu agitée... |
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| au petit matin le soleil nous réchauffe un peu |
la
météo prévoyant un petit vent de NW qui devait nous pousser agréablement jusqu’à Bizerte.
Pendant plus de 12 h,
sous voile, avec des pointes à 7,2, on
s’est régalé.
Le
vent faiblissant en milieu de nuit le moteur nous aida à
maintenir une bonne moyenne tout en maintenant notre vigilance rendue
nécessaire par l’important trafic maritime.
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| pendant que certains dorment, d'autre assure |
Arrivée
à Bizerte au bout de 24 h sous un soleil écrasant (33°).
Hélas
la super Marina qui devait ouvrir en décembre a pris beaucoup de retard, impossible
d’en profiter. Nous nous dirigeons vers
le port de pêche où le trafic et l’activité sont d’une grande intensité et nous
faisons les déclarations obligatoires d’entrée dans ce beau pays. Après beaucoup de patience, nous avons
récupéré le dernier document
indispensable pour naviguer dans les eaux tunisiennes.
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| notre voisin de port |
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| Bahia coincé entre les grosses barques de pêche |
Dès l’autorisation de quitter le navire, nous partons à pieds (pas de dinar dans les poches) pour découvrir la ville et s’offrir un couscous aux poissons au « Restaurant du Bonheur ». Munis de dinars sonnants et trébuchants nous rentrons en taxi délestés de 2 dinars !
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| au marché de Bizerte |
Après
une nuit agitée par le départ et l’arrivée des pêcheurs, un petit tour au
marché local pour le plein de légumes et fruits, et nous voilà enfin partis
pour Sidi Bou Saïd, 42 milles plus à l’Est. Bonne navigation, grand largue et
arrière, force 5 rafales à 6 sous génois
seul .
Contents
d’arriver dans cette jolie petite station balnéaire « très chic »,
nous avons du rester sur le Bahia à partir de 21 h, un couvre-feu étant instauré par les autorités locales.
Coucou le Bahia tunisien! Vous nous faites vraiment envie avec votre traversée de choc et le couscous de poisson!
RépondreSupprimerMême avec le bruit, de toutes façon j'aurais préféré le port de pêcheurs à la marina et en plus se réveiller dans l'odeur des poissons.....excellent pour se mettre dans le bain.
J'espère que la soirée coupe-feu était accompagnée de patisseries locales et thé à la menthe pour les gourmandes. Avez vous pu établir le contact avec les Oliveaux?
Profitez bien du soleil!!! la prochaine fois nous voulons des photos!
Bises à tout l'équipage; Pierre